En juin, les jours sont les plus longs et pour autant ils paraissent si courts. Après les poulinages, la gynéco et les juments qu'il faut remplir avec ces paillettes qui se font de plus en plus rares et dont on ne sait toujours rien sur la qualité de leur contenu. Les nuits sont parfois longues aussi avec leur lot de stress et d'inquiètudes. Puis viennent aussi les foins qu'on se doit de ne pas manquer entre deux variations du temps, les concours de 3 ans mâles qui s'approchent. Restent ces rares instants de plaisir pur, où la beauté d'un lot de pouliches dans un couchée de soleil l'emporte sur tout.
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